Atelier d'écriture de Sylvie Dambrine
Découvrez l'atelier d'écriture en ligne de Sylvie Dambrine (certifiée animateur d'atelier d'écriture : Éveilleur-d'idées).
C’est avant tout la joie de se retrouver tous les mardis sur le site Internet pour prendre connaissance du sujet de la semaine et des réponses à celui de la semaine précédente. Ces derniers, aux idées parfois vagabondes font surtout appel à votre imaginaire ou à des souvenirs accrochés à l’attrape-rêve.
Cet atelier est amical ! On est dans la bienveillance, pas de meilleur ni de moins bon. C’est un moment de partage ouvert à tous.
La phrase "certifiée animateur d'atelier d'écriture : Éveilleur-d'idées" signifie que Sylvie Dambrine a reçu une certification pour animer des ateliers sous le titre d'Éveilleur-d'idées. Cela implique qu'elle est qualifiée pour stimuler la créativité et l'innovation chez les participants de ses ateliers.
247eme
D'après la chanson de P.Perret
Ouvrez... Ouvrez la cage aux oiseaux...
Cet été, Sylvie Dambrine vous propose un mardi sur deux une nouvelle idée d'expression.
Vous avez en plus la possibilité d'envoyer un ou plusieurs textes libres en employant les mots : courage, ou dignité, liberté d'expression, ou censure. Ou tous !
Écrivez au début de votre texte ceux que vous avez traités. Vos réponses seront remises à la Médiathèque, si vous l'acceptez, et peut être lus dans le cadre du soutien par la Mairie de Saint-Raphaël de libérer l'auteur Boualem Sansal.
Ce sont des beaux et bons mots...
Toutes les propositions d'écriture de Sylvie Dambrine sont protégées par la SACD.
La participation à cet atelier est gratuite.
Veuillez signer vos écrits par votre prénom et préciser le numéro de votre département.
Un échange avec Sylvie, un conseil sur votre écrit, contactez
Vos réponses :
179 -ème Proposition. C’était une lueur, juste une lueur…
LUEURS ETRANGES
Tout a commencé comme une blague de potache.
179e proposition C'était une lueur... Juste une lueur... « Puisque je vous dis qu’elle ne comprend pas ce qu’on dit, chef. On l’a trouvée rue Lepic, assise sur un banc près du kiosque à journaux.
Il traînait les pieds, avançait tête baissée, épaules voûtées, se mordillait les lèvres. Il souffrait, tout son corps lui faisait mal, chaque articulation, chaque muscle se rappelait à son ”bon souvenir”.
179 -ème Proposition. C’était une lueur, juste une lueur… LUEURS ETRANGES Tout a commencé comme une blague de potache.
179ème : « C’était une lueur… juste une lueur…» Au potager du potache...
J'Y PENSE J'ai des lueurs oui... Des lueurs de ma vie d'avant ! Oh ! Je n'ai pas eu une existence glorieuse, une vie... une vie de bâton de chaise oui.